Un petit ver?
Toujours à l’affût d’une bonne petite dose de cocaïne d’un sujet qui vous intéresse vous fasse rire vous divertisse, je vous propose aujourd’hui un petit sujet fort sympathique. Super l’introduction pour attirer le lecteur plus loin dans le texte, non ?
L’autre jour, j’étais en train de pêcher - pêcher de la friture pour être plus précis. Assis sur une bûche, l’œil fixé sur un morceau de liége rose, je ne pensais à rien. À rien du tout, du tout, du tout, du tout. Assez incroyable pour être noté quand même ! Vous aussi vous pouvez tenter l’expérience si vous le désirez.
D’un seul coup d’un seul, mon voisin de bordure de trou d’eau se lève brutalement, me regarde, et me lance très sérieusement :
« Je vais aller faire un petit tour au village pour aller chercher des asticots. Les miens sont secs !»
Jusque là rien d’anormal hormis le mot « asticot » qui dans cette phrase choquerait plus d’un urbain. Combien de fois avez-vous utiliser le mot « asticot » ces derniers mois, hein ? Cherchez bien, vous allez voir que ce n’est pas le mot que l’on utilise souvent au même titre que le mot « eucalyptus » ou « merisier ». Certes, je peux vous dire :
« Mes asticots au goût d’eucalyptus gigotent sur la table en merisier de ma tante », mais je me force, et c’est simplement pour vous.
Pour en revenir à ma petite phrase du début de le article, vous allez vous rendre compte qu’il y a un petit mot anodin qui s’est glissé dans cette petite phrase. Cherchez, cherchez encore…
Allez, relisez, cherchez, cherchez…bon si vous ne tenez pas cliquez ici alors, petits joueurs !
L’autre jour, j’étais en train de pêcher - pêcher de la friture pour être plus précis. Assis sur une bûche, l’œil fixé sur un morceau de liége rose, je ne pensais à rien. À rien du tout, du tout, du tout, du tout. Assez incroyable pour être noté quand même ! Vous aussi vous pouvez tenter l’expérience si vous le désirez.
D’un seul coup d’un seul, mon voisin de bordure de trou d’eau se lève brutalement, me regarde, et me lance très sérieusement :
« Je vais aller faire un petit tour au village pour aller chercher des asticots. Les miens sont secs !»
Jusque là rien d’anormal hormis le mot « asticot » qui dans cette phrase choquerait plus d’un urbain. Combien de fois avez-vous utiliser le mot « asticot » ces derniers mois, hein ? Cherchez bien, vous allez voir que ce n’est pas le mot que l’on utilise souvent au même titre que le mot « eucalyptus » ou « merisier ». Certes, je peux vous dire :
« Mes asticots au goût d’eucalyptus gigotent sur la table en merisier de ma tante », mais je me force, et c’est simplement pour vous.
Pour en revenir à ma petite phrase du début de le article, vous allez vous rendre compte qu’il y a un petit mot anodin qui s’est glissé dans cette petite phrase. Cherchez, cherchez encore…
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