T'as pas deux balles?
Bon d’accord je le reconnais, mes derniers billets étaient plutôt morbides, alors aujourd’hui, j’ai décidé de vous divertir un peu en vous parlant de la chose dont je parle le mieux, vous l’avez tous compris : Mes sculptures en pâte à sel !
Presque ! Mais faute.
Depuis que je suis de retour dans la terre de mes ancêtres, j’ai repris une pratique qui m’occupa pendant des lustres - il y a de cela presque deux décennies. J’avais un cœur fort, des muscles souples, et des yeux rapides. J’utilise malheureusement le passé car désormais mon cœur est mou, mes muscles raides, et mes yeux glaucomiques.
Oui, j’ai repris le sport qui se pratique à deux ou quatre, j’ai nommé la belote (j’ai cherché une foultitude de jeux connus de tous qui se pratiquent à deux ou quatre et je ne suis tombé que sur la belote, c’est’y pas malheureux).
Mais non, le tennis. Oui, oui, j’ai repris le tennis avec joie et bonne humeur.
Je vous avais promis mon tennis, et bien le voici!
Alors le tennis c’est quoi ?
Ben c’est comme du foot en fait, sauf que le terrain est plus petit, que la balle est jaune, et que chaque joueur dispose de tamis à sable grossier. Donc, pour les filles ne retenez qu’une chose : le tennis c’est un genre de foot, d’accord !
Pour les plus salaces, on pourra dire que le tennis se joue a deux sans Thé mais en Paix (Comprenne qui pourra !)
Moi ce que j’aime dans cette activité c’est qu’elle me change de l’égoïsme de la course ou du vélo, et l’on peut toujours blâmer son partenaire avec un :
« Putiiiii ! TU me fais mal jouer ! », ou mieux on peut toujours lui envoyer son tamis directement dans son écureuil.
Je reconnais, je n'ai pas un tennis de pro. Heureusement !
L’avantage du tennis, c’est comme le vélo, on a besoin des mains, ou si vous voulez : cela ne s’oublie pas. Enfin quand je dis que cela ne s’oublie pas, ça s’oublie, mais mal. Suite à quelques coups droit « meunier » (meunier, farine, tamis, you get it !) et revers « grillage », tout reprend sa place. Certes on va traîner longtemps sur des « ficoïdes » atterrissant au bord du filet, on va lanciner sur des « pougnes » à deux centimètres de la ligne, mais en général on arrive à se divertir. N’est-ce pas là, le but mon cher professeur tournesol?
Ensuite il s’agit de trouver un partenaire. Un compromis entre une personne qui ne ramasse pas uniquement vos balles meurtrières, et une personne qui ne vous fasse pas ramasser ses balles.
Et alors à cet instant on s’amuse franchement bien pendant deux, quatre, ou six jours pour les plus endurants.
Le système des points pour le tennis est l’un des plus complexes qui existe sur cette planète.
On compte par 4, sauf les jeux impairs où si votre partenaire fait une annonce de 9, vous devez renchérir de deux en deux jusqu’à ce que vous ayez enfin 15. Cela s’étale sur un jeu qui peut être divisé en demi voire tierce en fonction du nombre de points que vous avez gagnés dans les annonces de 9. C’est super simple, toujours est-il que je ne compte jamais les points, je frappe les balles et ça me suffit amplement.
Bien sûr comme tous les sports, il y a les jours « sans ».
Et vous les gars, vous savez tous qu’un jour sans balles, fout les boules, mais que dire des jeunes filles qui aiment le tennis en pension.
Ainsi, vous avez beau vous démener en couvrant tout le terrain et assassiner ces boules de feutrine, vous jouez mal.
Heureusement là encore le tennis nous offre tout un tas d’excuses, pontuées de « put…de bord…d’enc…d'sa mère ». Jugez-en un peu :
« Mon cordage est détendu »
« Tu peux les faire moins hautes tes balles, stople »
« Y’a du vent non car je joue long, là ? »
« Elle est sortie celle-là, ou bien elle est sur la ligne ? »
« Je sers toujours avec le soleil dans le visage où je rêve ?»
« Votre tennis est bien trop propagé»
« Elles sont pourries tes balles ou c’est le terrain? »
« Vous pouvez garder le silence quand je sers ça me gêne ? »
« Dis- moi, c’est bien des balles que tu as dans les poches de ton short, parce que là tu me fais peur ! »
De temps en temps vous avez quand même des jours « avec » où avec assez d’ace d’as sensas vous ne cessez d’assassiner sans sens votre adversaire. Cela ne dure que 7 minutes…
Finalement, je dois avouer avoir repris le tennis, non pas pour taper des balles, mais simplement parce qu’il paraîtrait que les cordages des raquettes sont fait en boyaux de chats.
Et vous savez tous que les chats et moi…
Presque ! Mais faute.
Depuis que je suis de retour dans la terre de mes ancêtres, j’ai repris une pratique qui m’occupa pendant des lustres - il y a de cela presque deux décennies. J’avais un cœur fort, des muscles souples, et des yeux rapides. J’utilise malheureusement le passé car désormais mon cœur est mou, mes muscles raides, et mes yeux glaucomiques.
Oui, j’ai repris le sport qui se pratique à deux ou quatre, j’ai nommé la belote (j’ai cherché une foultitude de jeux connus de tous qui se pratiquent à deux ou quatre et je ne suis tombé que sur la belote, c’est’y pas malheureux).
Mais non, le tennis. Oui, oui, j’ai repris le tennis avec joie et bonne humeur.
Je vous avais promis mon tennis, et bien le voici!
Alors le tennis c’est quoi ?
Ben c’est comme du foot en fait, sauf que le terrain est plus petit, que la balle est jaune, et que chaque joueur dispose de tamis à sable grossier. Donc, pour les filles ne retenez qu’une chose : le tennis c’est un genre de foot, d’accord !
Pour les plus salaces, on pourra dire que le tennis se joue a deux sans Thé mais en Paix (Comprenne qui pourra !)
Moi ce que j’aime dans cette activité c’est qu’elle me change de l’égoïsme de la course ou du vélo, et l’on peut toujours blâmer son partenaire avec un :
« Putiiiii ! TU me fais mal jouer ! », ou mieux on peut toujours lui envoyer son tamis directement dans son écureuil.
Je reconnais, je n'ai pas un tennis de pro. Heureusement !
L’avantage du tennis, c’est comme le vélo, on a besoin des mains, ou si vous voulez : cela ne s’oublie pas. Enfin quand je dis que cela ne s’oublie pas, ça s’oublie, mais mal. Suite à quelques coups droit « meunier » (meunier, farine, tamis, you get it !) et revers « grillage », tout reprend sa place. Certes on va traîner longtemps sur des « ficoïdes » atterrissant au bord du filet, on va lanciner sur des « pougnes » à deux centimètres de la ligne, mais en général on arrive à se divertir. N’est-ce pas là, le but mon cher professeur tournesol?
Ensuite il s’agit de trouver un partenaire. Un compromis entre une personne qui ne ramasse pas uniquement vos balles meurtrières, et une personne qui ne vous fasse pas ramasser ses balles.
Et alors à cet instant on s’amuse franchement bien pendant deux, quatre, ou six jours pour les plus endurants.
Le système des points pour le tennis est l’un des plus complexes qui existe sur cette planète.
On compte par 4, sauf les jeux impairs où si votre partenaire fait une annonce de 9, vous devez renchérir de deux en deux jusqu’à ce que vous ayez enfin 15. Cela s’étale sur un jeu qui peut être divisé en demi voire tierce en fonction du nombre de points que vous avez gagnés dans les annonces de 9. C’est super simple, toujours est-il que je ne compte jamais les points, je frappe les balles et ça me suffit amplement.
Bien sûr comme tous les sports, il y a les jours « sans ».
Et vous les gars, vous savez tous qu’un jour sans balles, fout les boules, mais que dire des jeunes filles qui aiment le tennis en pension.
Ainsi, vous avez beau vous démener en couvrant tout le terrain et assassiner ces boules de feutrine, vous jouez mal.
Heureusement là encore le tennis nous offre tout un tas d’excuses, pontuées de « put…de bord…d’enc…d'sa mère ». Jugez-en un peu :
« Mon cordage est détendu »
« Tu peux les faire moins hautes tes balles, stople »
« Y’a du vent non car je joue long, là ? »
« Elle est sortie celle-là, ou bien elle est sur la ligne ? »
« Je sers toujours avec le soleil dans le visage où je rêve ?»
« Votre tennis est bien trop propagé»
« Elles sont pourries tes balles ou c’est le terrain? »
« Vous pouvez garder le silence quand je sers ça me gêne ? »
« Dis- moi, c’est bien des balles que tu as dans les poches de ton short, parce que là tu me fais peur ! »
De temps en temps vous avez quand même des jours « avec » où avec assez d’ace d’as sensas vous ne cessez d’assassiner sans sens votre adversaire. Cela ne dure que 7 minutes…
Finalement, je dois avouer avoir repris le tennis, non pas pour taper des balles, mais simplement parce qu’il paraîtrait que les cordages des raquettes sont fait en boyaux de chats.
Et vous savez tous que les chats et moi…