Mes malles en Gaule
Welcome back !
C’est presque de la sorte que j’aurais pu être accueilli mais bon sachant qu’il était 14h20, que j’étais à CDG, et que nonante seize pour cent de mon entourage parlait ma langue de naissance, on ne m’a soufflé qu’un :
« Passeport ! » et l’on m’a dit d’attendre mes malles et mon coffre sur le tapis 2, là-bas au fond.
Décalé, la bouche pâteuse et collante avec l’haleine d’un gueux âgé, j’ai récupéré mes boîtes. Pensez-vous, treize ans de vie dans deux valises, et deux caisses (contenant mon vétété et bicloune de course, mes uniques moyens de transport pour le moment) Ma femme et mon fiston eux n’avaient qu’un sac commun ; ils ne restaient qu’un temps avec moi. Snif !
Voilà, nous étions en France, et pour de bon cette fois !
Bizarre, étrange, drôle de sensations de fourrure qui m’envahissaient (Notez que cela n’a rien à voir, mais j’aime le mot fourrure surtout l’été, allez savoir, on ne se refait pas !)
Désormais ce blog va raconter ma réadaptation au milieu Gaulois, cela bien sûr avec ma petite famille. Pour le moment je suis tout seul – re-snif. Ma femme, mon fils et son radiateur étant retournés à les « Youessas » pour régler les dernières formalités administratives là-bas, tandis qu’il m’incombe de mettre en place la paperasse ici ; et c’est cela qui va être comique, je crois !
En treize ans, je n’ai plus grand-chose ici, et je n’existe plus non plus aux yeux de la société Française (je raccroche à peine avec la sécu.) Cela est bien car je peux enfin m’appeler Sandrine.
Bien, il semble clair que ça va me permettre d’alimenter un peu ce blog, qui sera le miroir de ma réadaptation pendant cette année qui s’annonce sabbatique.
Voilà les bases sont posées, maintenant il faut que je m’y mette…À quoi ? Ben, il y a la coupe du monde de ballon de cuir, le tour de Gaule à bicyclette dans bientôt, et tout un tas de trucs à découvrir à la télé - Où sont les Jacques Martin, Pierre Tchernia, Armand Jammot ? Et puis il n’y a plus de speakerines ! Heureusement je vais m’abonner à Télé7 jours. Pff! Je ne sais plus par où commencer…
Cocorico !
C’est presque de la sorte que j’aurais pu être accueilli mais bon sachant qu’il était 14h20, que j’étais à CDG, et que nonante seize pour cent de mon entourage parlait ma langue de naissance, on ne m’a soufflé qu’un :
« Passeport ! » et l’on m’a dit d’attendre mes malles et mon coffre sur le tapis 2, là-bas au fond.
Décalé, la bouche pâteuse et collante avec l’haleine d’un gueux âgé, j’ai récupéré mes boîtes. Pensez-vous, treize ans de vie dans deux valises, et deux caisses (contenant mon vétété et bicloune de course, mes uniques moyens de transport pour le moment) Ma femme et mon fiston eux n’avaient qu’un sac commun ; ils ne restaient qu’un temps avec moi. Snif !
Voilà, nous étions en France, et pour de bon cette fois !
Bizarre, étrange, drôle de sensations de fourrure qui m’envahissaient (Notez que cela n’a rien à voir, mais j’aime le mot fourrure surtout l’été, allez savoir, on ne se refait pas !)
Désormais ce blog va raconter ma réadaptation au milieu Gaulois, cela bien sûr avec ma petite famille. Pour le moment je suis tout seul – re-snif. Ma femme, mon fils et son radiateur étant retournés à les « Youessas » pour régler les dernières formalités administratives là-bas, tandis qu’il m’incombe de mettre en place la paperasse ici ; et c’est cela qui va être comique, je crois !
En treize ans, je n’ai plus grand-chose ici, et je n’existe plus non plus aux yeux de la société Française (je raccroche à peine avec la sécu.) Cela est bien car je peux enfin m’appeler Sandrine.
Bien, il semble clair que ça va me permettre d’alimenter un peu ce blog, qui sera le miroir de ma réadaptation pendant cette année qui s’annonce sabbatique.
Voilà les bases sont posées, maintenant il faut que je m’y mette…À quoi ? Ben, il y a la coupe du monde de ballon de cuir, le tour de Gaule à bicyclette dans bientôt, et tout un tas de trucs à découvrir à la télé - Où sont les Jacques Martin, Pierre Tchernia, Armand Jammot ? Et puis il n’y a plus de speakerines ! Heureusement je vais m’abonner à Télé7 jours. Pff! Je ne sais plus par où commencer…
Cocorico !