Mon compte n'est plus bon
« 1297, 1298, 1299, 1300 ! C’est pas possible ! C’EST PAS POSSIBLE ! 1,2,3, (…), 1299, 1300. Oh shit, c’est bien ça ! » poussais-je en soufflant. (je pousse souvent en soufflant, d'où mon nom Pascal)
Deux secondes plus tard, j’ôtai mon œil rougi par un décompte intense au microscope, puis je jettai mon corps dépité sur l’immense canapé décati qui sied dans le labo.
J’eu soudainement très peur.
Voyez-vous (enfin vous ne voyez pas encore très bien car je commence juste ce récit, mais tout à l’heure vous allez voir super bien ; fin de la parenthèse).
Donc voyez-vous, je suis l’heureux propriétaire d’une Lancia Delta Turbo Diesel d’un téléphone portable – et oui personne n’est parfait. Ok, en cas d’urgence, ce dernier est bien pratique. Tenez l’autre jour, je m’étais enfin échappé du centre, et alors que je ramassais de petites brindilles pour ma crèche, je me suis pris le pied dans un piège à loup. Ben là, je fus content de disposer de cet appareil pour appeler les secours (ils ne sont arrivés que 72h plus tard car je leur avais dit que j’étais « là ! »)
Bref, je me suis un peu écarté, là, non ?
Alors, mon portable…
J’en ai un, bon d’accord.
Vous aussi.
Super ! (Je suis trop sarcaustique ce soir!)
Maintenant, il se trouve que je lis aussi beaucoup de magazines tels que : Paris-Match, Voici, Toi Vedettes que J’M, etc.
Et bien figurez-vous qu’il paraîtrait que les téléphones portables donneraient de la tumeur dans le crâne.
Brrrr !
Alors, vous vous dites que 1300, c’est mon nombre de neurones.
Détrompez-vous, car mon téléphone est plus souvent dans ma poche avant de mon Jean, que collé à mon pavillon.
Pour vous êtes lamentablement trompés, je vous inflige la punition suivante: deux jours sans venir sur ce blog...Ok, 48h, et on en reste là!
Sinon, les plus perspicaces d’entre vous auront compris qu’il s’agit effectivement de la quantité de spermatozoïde (les miens) dont je vous parlais au début de ce billet (Do I have to explain EVERYTHING?) En effet, leur nombre semblerait avoir été divisé par deux depuis le dernier comptage du mois de juin.
Comme à chaque fois, je m’étais réfugié dans la chaufferie du foyer avec le catalogue Spécial Noël de Monsieur Bricolage, et je m’étais « onaniser » avec l’encart « Carrelages et Fenêtres. » Il n’avait pas fallu très longtemps pour que les deux bassines soient remplies. J’étais ensuite remonté vers le labo, non sans avoir déposé les excédents de semences dans les distributeurs de savon et de shampooing.
Bref, ça me fiche les boules (je sais c’est la saison) de savoir que mon taux est faible. Il faut que je fasse gaffe désormais, car il serait dommage que le Viagra qu’ils nous donnent au centre me fasse tirer à blanc.
Saleté de technologie.
Deux secondes plus tard, j’ôtai mon œil rougi par un décompte intense au microscope, puis je jettai mon corps dépité sur l’immense canapé décati qui sied dans le labo.
J’eu soudainement très peur.
Voyez-vous (enfin vous ne voyez pas encore très bien car je commence juste ce récit, mais tout à l’heure vous allez voir super bien ; fin de la parenthèse).
Donc voyez-vous, je suis l’heureux propriétaire d’une Lancia Delta Turbo Diesel d’un téléphone portable – et oui personne n’est parfait. Ok, en cas d’urgence, ce dernier est bien pratique. Tenez l’autre jour, je m’étais enfin échappé du centre, et alors que je ramassais de petites brindilles pour ma crèche, je me suis pris le pied dans un piège à loup. Ben là, je fus content de disposer de cet appareil pour appeler les secours (ils ne sont arrivés que 72h plus tard car je leur avais dit que j’étais « là ! »)
Bref, je me suis un peu écarté, là, non ?
Alors, mon portable…
J’en ai un, bon d’accord.
Vous aussi.
Super ! (Je suis trop sarcaustique ce soir!)
Maintenant, il se trouve que je lis aussi beaucoup de magazines tels que : Paris-Match, Voici, Toi Vedettes que J’M, etc.
Et bien figurez-vous qu’il paraîtrait que les téléphones portables donneraient de la tumeur dans le crâne.
Brrrr !
Alors, vous vous dites que 1300, c’est mon nombre de neurones.
Détrompez-vous, car mon téléphone est plus souvent dans ma poche avant de mon Jean, que collé à mon pavillon.
Pour vous êtes lamentablement trompés, je vous inflige la punition suivante: deux jours sans venir sur ce blog...Ok, 48h, et on en reste là!
Sinon, les plus perspicaces d’entre vous auront compris qu’il s’agit effectivement de la quantité de spermatozoïde (les miens) dont je vous parlais au début de ce billet (Do I have to explain EVERYTHING?) En effet, leur nombre semblerait avoir été divisé par deux depuis le dernier comptage du mois de juin.
Comme à chaque fois, je m’étais réfugié dans la chaufferie du foyer avec le catalogue Spécial Noël de Monsieur Bricolage, et je m’étais « onaniser » avec l’encart « Carrelages et Fenêtres. » Il n’avait pas fallu très longtemps pour que les deux bassines soient remplies. J’étais ensuite remonté vers le labo, non sans avoir déposé les excédents de semences dans les distributeurs de savon et de shampooing.
Bref, ça me fiche les boules (je sais c’est la saison) de savoir que mon taux est faible. Il faut que je fasse gaffe désormais, car il serait dommage que le Viagra qu’ils nous donnent au centre me fasse tirer à blanc.
Saleté de technologie.