Solde au monde
Ce matin, je descends dans mon abri nucléaire afin de vérifier que ma collection de foetus de chats n’a pas été trop endommagé par les pluies des derniers jours, et là je respire enfin, mais bon sang que j’ai eu peur !
Oui, ouf, tout est à sa place.
Voyez-vous, il est un peu poreux mon abri. Bon, ce n’est pas grave, car en fait, ma collection de fœtus, elle doit juste être protégée de la lumière afin que les « fœtus ne perdent pas leur goût » qu’ILS disent dans le livre de cuisine du Centre.
Et puis, et puis, et puis, bêtement, en remontant dans le tuyau central, je me prends une manche de la camisole dans la porte du sas numéro 12, et je déchire celle-ci en mille morceaux (je vous expliquerai plus tard comment on déchire des vêtements en mille morceaux.)
Horreur !
Malheur !
Terreur !
L’unique guenille que je comptais porter ce samedi soir s’envole en fumée (là aussi, je vous expliquerai.)
Heureusement, mes multiples dons de spermes pour les vétérinaires du Centre ont fait de moi un homme riche.
Du coup, j’ai filé Aux Champs avec ma carte "Boeufs" faire la solde.
Et voilà le résultat.
J’ai choisi une robe de saison d’un noir sobre qui devrait souligner mes Gluteus maximus dodus. Ses longues manches (j’aaaadore les trucs avec de longues manches, allez savoir pourquoi !) devraient cacher mon bras valide. Quant à la longueur, je n’ai pas voulu faire dans le vulgaire, et j’ai choisi quelque chose que la vendeuse a jugé « d’approprié » pour un homme de ma corpulence. J’aime aussi le contact charnel de la douce texture sur mon corps nu, mais ça c’est personnel.
Le choix des bottes a été le choix du cœur. Si, si, si. J’avais pensé à des sandales, or les sandales, ça fait trop 2003. J’espère simplement qu’il ne fera pas trop chaud, car vous savez combien on respire mal dans les bottes en caoutchouc, surtout avec des chaussettes en cuir.
Un chapeau m’a aussi semblé naturel puisqu’il couvrira la cicatrice occipitale que je me suis fait en ouvrant une boîte de petits pois en conserve. Je tirais, je tirais, je tirais, et là paf, d’un seul coup, le couvercle s’est défait avant de se diriger vers mon crâne nu. Il a alors entaillé la chair molle sur 25 centimètres. Donc, maintenant, j’ai un petit pois dans la tête.
Vous savez aussi fidèles lecteurs que je suis toujours à la pointe de la mode rurale - Arielle D. ne vient-elle pas chercher chez moi, le petit quelque chose qui fera d’elle une tourbière d’altitude. Des lunettes seront donc bien présentes sur mon doux visage porcin.
Enfin, la touche spéciale « Bakinzihoude » : deux accessoires dont je me sépare JAMAIS quand je suis hors du Centre. N’allez pas voir que je « tire » sur tous ce qui bouge, et que je « ratisse » large, non plus, hein? Car je vois venir certains d’entre vous.
En conclusion : si vous aussi, vous avez une soirée mondaine, n’hésitez pas à me contacter, je me ferais un plaisir de vous conseiller. (Les filles aussi of course !)
Oui, ouf, tout est à sa place.
Voyez-vous, il est un peu poreux mon abri. Bon, ce n’est pas grave, car en fait, ma collection de fœtus, elle doit juste être protégée de la lumière afin que les « fœtus ne perdent pas leur goût » qu’ILS disent dans le livre de cuisine du Centre.
Et puis, et puis, et puis, bêtement, en remontant dans le tuyau central, je me prends une manche de la camisole dans la porte du sas numéro 12, et je déchire celle-ci en mille morceaux (je vous expliquerai plus tard comment on déchire des vêtements en mille morceaux.)
Horreur !
Malheur !
Terreur !
L’unique guenille que je comptais porter ce samedi soir s’envole en fumée (là aussi, je vous expliquerai.)
Heureusement, mes multiples dons de spermes pour les vétérinaires du Centre ont fait de moi un homme riche.
Du coup, j’ai filé Aux Champs avec ma carte "Boeufs" faire la solde.
Et voilà le résultat.
J’ai choisi une robe de saison d’un noir sobre qui devrait souligner mes Gluteus maximus dodus. Ses longues manches (j’aaaadore les trucs avec de longues manches, allez savoir pourquoi !) devraient cacher mon bras valide. Quant à la longueur, je n’ai pas voulu faire dans le vulgaire, et j’ai choisi quelque chose que la vendeuse a jugé « d’approprié » pour un homme de ma corpulence. J’aime aussi le contact charnel de la douce texture sur mon corps nu, mais ça c’est personnel.
Le choix des bottes a été le choix du cœur. Si, si, si. J’avais pensé à des sandales, or les sandales, ça fait trop 2003. J’espère simplement qu’il ne fera pas trop chaud, car vous savez combien on respire mal dans les bottes en caoutchouc, surtout avec des chaussettes en cuir.
Un chapeau m’a aussi semblé naturel puisqu’il couvrira la cicatrice occipitale que je me suis fait en ouvrant une boîte de petits pois en conserve. Je tirais, je tirais, je tirais, et là paf, d’un seul coup, le couvercle s’est défait avant de se diriger vers mon crâne nu. Il a alors entaillé la chair molle sur 25 centimètres. Donc, maintenant, j’ai un petit pois dans la tête.
Vous savez aussi fidèles lecteurs que je suis toujours à la pointe de la mode rurale - Arielle D. ne vient-elle pas chercher chez moi, le petit quelque chose qui fera d’elle une tourbière d’altitude. Des lunettes seront donc bien présentes sur mon doux visage porcin.
Enfin, la touche spéciale « Bakinzihoude » : deux accessoires dont je me sépare JAMAIS quand je suis hors du Centre. N’allez pas voir que je « tire » sur tous ce qui bouge, et que je « ratisse » large, non plus, hein? Car je vois venir certains d’entre vous.
En conclusion : si vous aussi, vous avez une soirée mondaine, n’hésitez pas à me contacter, je me ferais un plaisir de vous conseiller. (Les filles aussi of course !)